Quand on totalise les coût d’expédition (frais de transport), les coûts de main d’œuvre (réception des marchandises en provenance des fournisseurs, préparation du colis, gestion des retours), le stockage (équipement, immobilier), l’informatique nécessaire, et les consommables (emballages, étiquettes), l’ensemble des opérations coûte cher.
On se retrouve vite dans une fourchette de 6 à 8 euros pour un colis national de <2kg. Or très souvent le consommateur n’est pas disposé à payer le prix réel.
Que faire ?
Répercuter l’entièreté du coût au client ne sera pas attractif sur le marché. Par contre, proposer la livraison gratuite dès le premier euro n’est guère une politique saine financièrement.
Souvent, il est recommandé de se positionner entre les deux options : répercuter une partie du coût sur le prix de vente des produits et, pour l’autre partie, ne la répercuter que sur des petites commandes, ce qui incite l’acheteur à bien remplir son panier d’achat pour bénéficier de la « livraison gratuite ».